Demain 22 décembre 2009 à 19:00, aura lieu le prochain débat du café-citoyen de la Nouvelle Arcadie Paris sur le thème suivant :
Faut-il sacrifier la liberté au profit de la sécurité ?
Nous vous attendons à L'imprévu, 35 rue Didot / Place Flora Tristan, 75014 PARIS (Métro Pernety).
7 commentaires:
Thomas Jefferson:
"Une société qui sacrifie sa liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre et finit par perdre les deux."
Voilà une parole très forte, qui n'a rien perdu de sa véracité douloureuse. Actuellement, "on" (le gouvernement, les médias, la publicité, les banques, les assurances, que sais-je) veut nous vendre à tout prix de la sécurité - du moins est-ce le mensonge habituel - mais en contrepartie nous retire toute liberté. Une attention de tous les instants est nécessaire pour déjouer les pièges où tombe notre choix.
Le crétin de droite que je suis trouve la question juste... Mais perso, je n'ai aucun scrupule à sacrifier la liberté de ceux qui emmerdent les autres... Le poète avait dit que la liberté des uns s'arretaient où commençait celle des autres, et que c'était ce qui nous permettait de "vivre ensemble".
S'il faut sacrifier la liberté de quelques uns pour que le "vivre ensemble" soit possible, et bien soit.
Après, il faut aussi définir le "vivre ensemble"...
Passez une bonne soirée en tous cas (et passe de bonnes fetes de fin d'année !)
Intéressant mais flou...
A moins d'une semaine de l'entrée en application de la directive services, est-il encore temps de poser une telle question ? :-)
Bon sang, ça me rappelle les cours de philo.
On va commencer par définir les termes de la question. Qu'est ce que la liberté ?
Qu'est que la sécurité ?
Pfiou, je vais me refaire un café !!!
:-))
[Sérieusement, la liberté et la sécurité sont-elles autre chose que des ressentis et dès lors qu'est ce qui fait qu'on se sent dans l'une ou dans l'autre ? C'est vraiment un sujet de philo !!! :-)) ].
Monsieur Poireau, je conseille une tisane, zen !
des pas perdus : j'y cours ! :-))
@babelouest : je suis un fan de Jefferson ! mais on peut citer aussi Tocqueville : "Une nation qui ne demande à son gouvernement que le maintien de l’ordre est déjà esclave au fond du cœur ; elle est esclave de son bien-être, et l’homme qui doit l’enchaîner peut paraître."
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